Je pense être quelqu'un de jovial, je suis toujours partant pour faire la fête et même si je n'aime pas trop l'alcool je ne dis jamais non ! Je suis aussi assez blagueur, j'aime bien titiller mon entourage, mes amis les plus proches m'appellent le petit diable. J'ai deux défauts , je suis fainéant et je suis très lâche. Mais au moins je le reconnais ,c'est un bon début n'est-ce pas? Qui sait un jour peut être agirai-je avec bravoure , je me donnerai un bon coup de pied au cul pour obtenir d'autres notes que les dix sur vingt que je peine déjà à atteindre.
Je suis vraiment passionné par le chant ,j'adore ça quand j'étais petit jamais bien faire ma star durant les repas de famille Je suis toujours souriant même si parfois je doute beaucoup . Je suis complexé par ma taille..

J'ai toujours aimé les émissions du genre LGDT mais si je pouvais choisir de participer à l'une d'entre elles sans hésiter je choisirai Immortal Song . Je suis un chanteur ,enfin tout du moins j'ai une très jolie voix et ma présence scénique a été travaillé depuis mon arrivé dans cette université. Je serai vraiment heureux de pouvoir fouler la scène de cette émission.
Niveau divertissement je choisirai peut être we got married mais je le ferai en prévenant ma famille avant ,elle attend tellement que je me trouve une fille qu'elle se réjouirai trop vite de cette opportunité .Je n'aime pas quand ma mère ,mes tantes ou mes cousines jouent les entremetteuses.

Je pense que je n'ai pas besoin de grand chose pour capter l'auditoire. Ma voix est un vrai diamant que je m'affaire à tailler auprès de très bon professeur de chant. Je suis aussi un vrai clown, je suis assez à l'aise en société et je suis maladroit, autant dans mes mots que dans mes gestes. Tout le monde sait que ça déride les autres et surtout que ça fédère pas mal. Je suis une petite boule d'énergie, pas très malin mais avec moi on ne s'ennuie jamais. Je suis très gentil voir un peu trop naïf. Je fais rire les autres même quand je ne le veux pas!
Je suis aussi obstiné même si j'aime fuir dés que j'en ai l'occasion. Si on me dit que je dois travailler doublement , me mettre à la danse ou potasser encore plus pour ne pas foirer les matières générales, je vais rouspéter, peut être louper un semestre mais je finirai toujours par me réveiller et j'arriverai in extrémiste à me relever.

J'ai été un gamin à problème jusqu'à la fin du collège. Mon père a accepté malgré tout que je rentre dans un lycée général artistique, il pensait que c'était la dernière solution avant que je finisse comme délinquant ou alors comme lui, assez bas dans l’échelle social. Mes parents ont toujours été tolérants , malgré tout les problèmes que je leur ai causé ils m'ont soutenus. Ma mère adore m'entendre chanter c'est le seul talent que je possède, je ne suis doué en rien d'autre que ça .
Bien sûr me voir partir si loin de Séoul les a un peu effrayés, ils me pensent trop immature, mais je veux leur prouver que je suis capable de me débrouiller sans eux.
Ma grande mère est ma première fan ,je lui téléphone souvent ,elle me dit qu'elle a souvent la télé allumée sur la chaîne câblé où notre vie quotidienne est retranscrite. Elle m'a dit que je passe assez bien à l'écran, ça m'embarrasse mais au plus profond de moi me comble de joie.

 Son père gérant d’une épicerie garantissait la stabilité financière de la famille, son seul revenu faisait vivre les quatre membres qui la constituaient. Bae a un frère de six ans son ainé, ce grand écart d’âge ne leur a pas permis d’être proche ni de créer ce lien que beaucoup envi et qu’on pourrai espérer retrouver avec eux.
C’était le jour et la nuit entre Bae et son frère:  petit , pas très doué dans les études, défaitiste et pas courageux Bae Myeon ne faisait pas le poids face à ce militaire de carrière ,anciennement diplômé d’une grande université de commerce ,d’une bonne constitution , possédant des aptitudes telles en sport qu’il aurait pu sans problème pratiquer l’athlétisme  de haut niveau si il n’avait pas décidé de lui-même de s’engager pour servir son pays. Ce fils parfait rendait fier ses parents et les soulageait également ,les dédommageant même à chaque visites discrètement pour n’offenser personnes. Son cadet  n’a par ailleurs jamais été jaloux de ce frère qui lui faisait pourtant tant d’ombre, assez candide il n’a pas souffert de cette compétition à laquelle il ne sait jamais plié, faute de l’avoir noté .
Il lui arrivait parfois de prendre mal certaines remarques, surtout celles lâchées aux repas de famille mais rien de plus, sa mère une femme très douce a toujours ménagé son fils peut être trop si son père pouvait témoigner .
Il a dû se passer bien douze ans avant que le petit brun ne se rapproche de son père qu’il ne voyait pratiquement jamais . Il était déjà au lit quand ce dernier rentrait du travail et dormait encore quand il retournait à sa petite épicerie pour la journée .Le petit brun avait également reçu comme consigne de ne jamais venir le déranger sur son lieu de travail et de ne surtout amener aucun de ses petits camarades de classe. Les enfants à cet âge là sont ingérables et l’homme ne se sentait pas capable de les surveiller tout en répondant en même temps aux exigences de potentiels vrais clients.

Bae Myeon n’a une nouvelle fois ressenti aucune tristesse et ne s’est pas remit en question. Pour lui les choses étaient clairs, ce qui était dit devait l’être pour une bonne raison ,ces mots et ces interdictions n’étaient pas là pour l’ennuyer lui mais pour arranger son papa qui travaillait si dur .

Bae Myeon a grandi dans un univers assez féminin, ne comptant que deux autres membres masculins tout les deux absents , il s’était très vite familiarisé aux contactes de femmes et même de filles de son âge. Cette facilité à parler au sexe opposé lui a garanti une certaine popularité lors de ses premières années dans le secondaire. Il était le garçon qu’on venait voir pour se changer les idées, il était connu pour être celui qui ferai sourire n’importe qui, un vrai pitre au grand cœur . Un peu idiot mais pas méchant c’était un petit diable quand il le voulait , il n’amusait pas ses professeurs mais cela il s’en fichait pour lui si ses amis avaient ris de bon cœur alors la sanction ne lui ferai rien regretter .Ses parents ont eu beaucoup de doutes lorsqu’ils devaient se rendre à son école , convoqués à cause d‘une énième bêtises commise par l‘enfant. Ils étaient à le plus souvent très durs avec lui une fois les portes de l’établissement passées. Ils se sentaient impuissants et la violence verbales était leur dernier recourt . Ils avaient très certainement peur que ce fils à présent le seul qui restaient à leur charge ne puisse jamais prendre son envole. À leur défense il faut ajouter que le petit brun aux sourires d’enfants c’était entiché d’une bande d’amis pas très bien vu dans le quartier ,connus pour avoir vandalisés pas mal d’abri bus et autres installations publiques. Mais que voulez vous ,quand on a quinze ans on trouve tout ce danger bien excitant ,on  prends pour modèle ceux qui ont le courage de se dresser contre l’autorité , dans l’espoir d’attirer un jour, des regards encore inédit de la part de ses parents ,fautes d’être capable de faire renaitre ceux qui animaient leurs yeux lorsqu’ils étaient face à leur premier fils. Celui qui avait tout réussi.
Pourquoi faire deux enfants si l’éducation du second était ratée? La mère de l’enfant incorrigible s’en voulu durant de longues années ,jusqu’à ce qu’il arrête de lui-même et prenne le temps de se poser les bonnes questions. Voulait-il ou non finir comme tout ces jeunes qu’il pensait amis?
La pauvre femme s’était dit qu’à trop vouloir le rendre autonome ,à lui laisser du leste dans l’idée d’en faire un garçon responsable et mature ,elle avait fini par le perdre . Elle avait lâché la corde qui la reliait à son fils ,celle aussi qui le maintenait à ses cotés. Elle ne se sentait plus capable de passer derrière lui, de calmer son mari et d’amoindrir tout les petits délits qu’il avait pu causer.
C’est vers l’âge de seize ans, juste avant d’intégrer la seconde partie du secondaire que le déclic se fit. On lui donna le choix sans le juger de choisir quelle filière il voulait intégrer . Sans hésité il décida celle artistique et même si cela coûta beaucoup à son père se dernier accepta et le laissa partir . C’était un peu comme sa dernière chance ,l’éloigner de ses anciens démons étaient la seule chose qu’il pouvait faire . Il gardait espoir ,leur enfant n’était pas mauvais, il était d’ailleurs tout le contraire, incapable de percevoir la méchanceté des gens, de comprendre que certains pouvaient se jouer de lui .
Leur fils n’avait été qu’un pion mais fort heureusement il n’avait rien commis de très répréhensible ,son casier resta vierge il l’est encore à ce jour.

Ce fut la révélation. Il réussit avec brio les examen de fin de semestre, les trois années se finirent sans qu’aucune ombre ne viennent gâcher son évolution. Il n’était certes pas parfait ,une vraie lumière, il ne connaissait rien en histoire, avait peur des animaux et se sentait défaillir une fois hisser en haut de la corde en sport, mais il avait une qualité et pas des moindres. Il savait chanter .Depuis tout petit lors de fête de famille ou juste après la messe ce grand enfant aimait se donner en spectacle ,ses tantes mais aussi sa mère l’idolâtraient presque quand il entamé une de leurs chansons fétiche. Really I didn’t know. Sa grand-mère disait qu’un ange s’était trop penché au dessus de son berceau et en avait laisser tomber sa douce voix. Bae Myeon était fier quand tout les applaudissements étaient pour lui, même si cela restait assez occasionnel .

A dix neuf ans il sorti donc diplômé de son lycée mais sans aucune idée de ce qu’il ferai par la suite. Il resta un an chez lui , à aider sa mère dans les tâches ménagères . Il occupa également son temps à rendre des services autour de lui, Bae Myeon se fit même engagé par l’adjoint au maire qui lui donna comme tâche de livrer tout les matins le journal aux habitants qui avaient souscrit à ce service.
L’argent qu’il gagna avec ce petit boulot lui permit de s’acheter de jolies casquettes. Il faut savoir que l’adolescent est un grand fan de cette accessoire, il en possède une bonne cinquantaine et aimerai étendre sa collection jusqu’au équipe de baseball américaine. Pour l’instant il se contente des équipes local dont il est fan tout comme son père.
Il adore les sucreries mais déteste le chocolat à la menthe, il à l’impression de manger un bon chocolat fourré au dentifrice.

C’est un jeudi matin qu’il découvrit dans la boite au lettre une enveloppe adressait à son nom. C’était une invitation à rejoindre une école ultra sélective aux activités révolutionnaires qui prétendait modifier à jamais l’industrie musical et celle du divertissement télévisuelle . Bae Hyun sauta sur l’occasion, il vu là la chance d’être enfin connu et reconnu mais aussi de quitter la chaleur de son foyer qui lui deviendrai bientôt hostile si il s’obstinait à ne rien faire de concret . Il fut agréablement surpris d’y retrouver des amis du lycée .

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